lundi 14 septembre 2009

6.T.K.C

Dossier de Presse

vendredi 24 avril 2009

vendredi 1 février 2008

Into The Wild

Les sentiments qui nous habitent à la fin du film sont beaux.
Beaucoup de messages nous parviennent, c'était un grand moment de cinéma et de bonheur.
Le film questionne ce bonheur, comment est il ? comment l'atteindre ? Tout le long chacun pourra se faire sa réponse, chacun pourra interpréter, se retrouver dans des mots des phrases. La fin cependant apportera une réponse universel qu'il est bon de rappeler aujourd'hui où chacun semble se perdre dans un individualisme forcené et matériel.
Alex n'y échappera pas, on peut questionner sa démarche, il veut traverser le monde, vivre seul, mais finalement son voyage sera marqué de rencontre, de passion, d'amitié et de partage.
Alors quand il se retrouve vraiment seul, il s'aperçoit vite des limites de la solitude.
On pourrai aussi dire que ça démarche est égoïste, il veut aller en Alaska, l'harmonie complète avec la nature la plus pure, sa seule raison de vivre, il croit qu'il va trouver son bonheur et il y croit jusqu'au bout. Cette quête pourtant va créer des liens, des relations avec des personnes qui vont changer grâce à lui, pourtant il part, ne se retourne pas, indifférent à la douleur qu'il laisse, il poursuit son but, il ne veut pas être dépendant.
C'est une des forces de ce film, Alex ne sera jamais dépendant de quoi que se soit, il est totalement libre, il n'existe plus pour cette "société" qu'il dénigre, mais il est libre, totalement libre. Cette liberté est extraordinairement bien filmé.
Sean Penn nous livre un film personnel sans nul doute, il a compris les motivations d'Alex, sa vie, lui-même étant un éternel voyageur, il est habité par cette fuite.
La nature est filmée comme un personnage, vivant, habité de ses colères et de ses merveilles. Il nous faut plus la respecter, et ne pas oublier que quoi que l'on fera c'est elle qui aura le dernier mot à la fin. L'homme croit la maitrîser, c'est sans doute une grande erreur.
Un grand film.

Bonne toile !

mercredi 16 janvier 2008

samedi 5 janvier 2008

Un baiser s'il vous plaît

Film d'Emmanuel Mouret, 2007.

Romance bourgeoise, un phrasé agaçant qui vient ridiculiser à merveille ces Bo-Bo en mal d'amour.
Vivant pour l'amour de l'autre au début, détruisant les obstacles (humains) qui empêchent l'idylle.

Emmanuel Mouret y est excellent en tant qu'acteur, et la façon de cadrer ses personnages sont remarquables également.
Virginie Ledoyen, Michael Cohen, Stefano Accorsi et Julie Gayet sont des sucreries. Mention spéciale pour Julie Gayet qui possède un je ne sais quoi de très séduisant.

Et puis l'amour, qui est le vrai personnage du film, et au delà, la satire d'un microcosme parisien qui a le temps de ne penser qu'à lui.
Bonne toile

dimanche 30 décembre 2007

Le film qui frappe


Film efficace, l'esprit du jeu vidéo est totalement maintenu, il ne faut s'attendre à rien d'autre. Amatteurs de Luc Besson, vous serez ravi. L'action s'enchaine logiquement et rapidement. L'effet Jason Bourne donne toute la dynamique au film.

La pointe de sensibilité qui semble effleurer Hitman est retranscrite habilement sans trop de stéréotype scénaristique. Ce film reste donc un bon divertisement sans trop se prendre la tête, d'autres y verront sans doutes une bonne daube "à la Luc Besson".

Mention spéciale pour Timothy Olyphant, qui après son excellente interprétation dans "Deadwood", sans doute la meilleure série US du moment (largement devant "Prison Break") mais peu diffusé en France, donne toute la froideur et la grandeur nécessaire au mythe "Hitman".

A voir


Clint Eastwood, de Michael Henry Wilson

Indispensable et beau

vendredi 28 décembre 2007


Cinema Now

Un magnifique ouvrage aux photos sublimes
il dresse le portrait d'un cinéma contemporain riche et haut en couleur


dédicace g.


Cosa Nostra : une histoire de la mafia sicilienne de 1860 à nos jours, de John Dickie